Négatif original de la collection personnelle de l’éditeur Alan Capon pris lors de sa carrière avec le Post. Photographié le 25 octobre 1964.

Lindsay sur Pellicule

Service

Le village de Lindsay se fiait sur le Community Chest, le Kinsmen Club et la Légion royale canadienne afin de subvenir à ses besoins. Le double rôle de Capon en tant que commentateur et participant à ces clubs lui a permis de s’engloutir dans le cœur de la communauté et traduire leurs activités en reportages captivants, très appréciés par les lecteurs du journal. 

  • Le Community Chest

    Le Kinsmen Club

  • La Lindsay Central Exhibition

    Le Défilé du Père Noël

    l’Expo de Montréal 1967

Négatif original de la collection personnelle de l’éditeur Alan Capon pris lors de sa carrière avec le Post. Environ 1960.

Négatif de la collection personnelle de l’éditeur Alan Capon pris lors de sa carrière avec le Post. À droite, l’extérieur du siège social de la Légion qui venait d’être fini. Environ 1960. 

The Légion Royale Canadienne

Avant le fondement du Chapitre 67 de la Légion royale canadienne, le village jouait hôte à la Great War Veterans’ Association (G.W.V.A) (l’Association des anciens combattants de la grande guerre). Dans le plus grand contexte de la participation du Canada à la Première Guerre mondiale et ses séquelles,  la GWVA était un organisme important qui soutenait les anciens combattants en subvenant à leurs besoins.

L’édition du 35e anniversaire de l’écusson de la Légion royale canadienne.

Dès 1917, l’organisme aidait les anciens combattants à se réintégrer à la vie civile, aux soins de santé, aux régimes de retraite et aux opportunités d’emploi. De plus, l’association aidait les anciens combattants à relever les défis de la vie après-guerre, y compris le traumatisme physique et psychologique.

Esquisse architecturale de l’expansion de la Légion canadienne, approuvée par un vote de 86 contre 5. Le reportage du Lindsay Daily Post affirme que l'expansion coûte 50 000 $. La plupart d’entre nous peuvent reconnaître le bâtiment. 22 juillet 1960.

En 1925, l’Association des anciens combattants s’est fusionnée avec la Légion canadienne de la Ligue de Service de l'Empire Britannique, donnant lieu à notre Légion royale canadienne d’aujourd’hui. Depuis cette transition, nous reconnaissons le service et les sacrifices des anciens combattants de plusieurs conflits y compris la Première Guerre mondiale. La légion a commencé à honorer les vétérans de toutes les guerres et des missions de maintien de la paix.

« His Faults Lie Gently: The Incredible Sam Hughes ». (Ses fautes ne sont pas graves : l’incroyable John Hughes) par Alan R. Capon. Publié par Floyd W. Hall, Lindsay, Ontario.

Le chapitre a été nommé pour le Sire Sam Hughes pour reconnaître ses contributions à la Première Guerre mondiale et sa connexion à la ville, servant comme Ministre de milice et défense pour le Canada de 1911 à 1916. Plusieurs légions sont nommées pour des personnages militaires importants liés à une communauté. Leurs noms nous rappellent les sacrifices de ces individus durant ces conflits et sont symboliques de la fierté et de l’héritage régionaux. 

Alan Capon était membre des Forces armées canadiennes, donc naturellement, la Légion de Lindsay l’a intéressé.

Photographie de l’exécutif de la Légion, élu en 1969, parue dans le Lindsay Daily Post. De gauche à droite, rangée arrière: Alan Capon, Jack Towse, Douglas Worrell, Russell Williamson, Sydney York, J. Montemiglio et Donald Tofflemire. Rangée avant:  Jack Dayman, Richard Green, James McTaggart, Arthus Plumton et R. Rowbotham. 18 mai 1968. 

Il a servi comme secrétaire-directeur du bureau en 1969 et était souvent invité à parler à d’autres associations telles que le club Rotary de Lindsay et la Victoria County Historical Society (Société historique du comté de Victoria). Il a prononcé des discours sur Sire Sam Hughes, un personnage pour lequel il avait un vif intérêt depuis son immigration au Canada. L’organisation offrait un endroit où les membres de la communauté et les vétérans pouvaient se fréquenter.

Photographie des membres de la Légion royale canadienne, Chapitre 67, parue dans le Lindsay Daily Post. De gauche à droite: président sortant Tom Madill, président (1966) James McTaggart, officier d’installation Frank Hills, premier vice-président Jack Shannon et second vice-président Richard Green. 22 janvier 1966.  

De plus, comme journaliste pour le Post, Capon avait un accès incomparable aux anciens combattants, leurs histoires et les archives historiques du service militaire. Cet accès lui a permis d’écrire des reportages informatifs au sujet de leurs expériences, de l’histoire militaire et des activités de la Légion.

Négatif original de la collection personnelle de l’éditeur Alan Capon pris lors de sa carrière avec le Post. Cérémonie d’installation à la Légion royale canadienne, Chapitre 67. De gauche à droite: membre exécutif R. Harding, présidente auxiliaire Phyllis Montemiglio, président T. Madill, sergent d’armes Richard Green, membre exécutif J. Mac Taggart et commandant de zone Ian Scott. 17 janvier 1964.  

Il avait également une idée de première main des défis relevés par les anciens combattants, ce qui influençait ses reportages et ses efforts de sensibilisation. Son rôle de journaliste et celui de membre de la Légion avaient en commun l’engagement au service.

Photographies accompagnant un article qui annonce la vente annuelle de couronnes et de coquelicots par les membres de la Légion royale canadienne, Chapitre 67. Parues dans le Lindsay Daily Post. Les couronnes qui font partie des cérémonies au cénotaphe à Lindsay sont produites par l’organisation. 7 novembre 1962.

La Légion fait encore partie intégrante de la communauté aujourd’hui : elle participe aux cérémonies du Jour du Souvenir, elle fait la levée de fonds et contribue à la vie sociale et culturelle du village. Ces organisations sont des piliers essentiels de la société, en assurant le respect des anciens combattants et le bien-être de leur communauté et pays.

XI. Célébrations