Table des Matières
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En plongeant dans les détails de l’histoire du Lindsay Post, nous découvrons un narratif de résilience journalistique, d’engagement communautaire et de l’importance pérenne de ce journal d’une petite communauté.
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Fondé sous le nom de Canadian Post en 1857, ce journal était en constante métamorphose sous plusieurs différents noms et offrait des publications supplémentaires, avant de devenir le Post dont on se souvient aujourd’hui.
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Ce journal au cœur de Lindsay, un village étroitement lié à l’histoire de l’Ontario, a documenté le passage du temps et a aussi joué un rôle dans l’identité du village. L’histoire de la publication maintenant connue sous le nom de Lindsay Post est un récit d’évolution et d’adaptation, un miroir de la communauté qu’il a servi pour plus d’un siècle.
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Roy Wilson, synonyme du Post, est une personnalité influente dont la contribution est étroitement liée à l’héritage de son père. Ses aventures dans le monde de la presse écrite ont commencé à un tendre âge car il a grandi autour de l’entreprise innovatrice du Lindsay Post, sous la tutelle de son père et de son oncle. En fin de compte, Roy a assumé le rôle d’éditeur, déterminé d’y laisser sa propre marque.
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La presse à imprimer était une merveille technologique à l’époque, un bijou mécanique qui permettait de donner vie aux actualités des journaux. Avant l’ère numérique et nos méthodes modernes d’impression, ces presses tenaient lieu de « bourreaux de travail » de l’industrie de l’édition.
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Alan Roy Capon (1932-2014) a légué un héritage durable pendant son temps au Lindsay Daily Post, sous la tutelle de l’éditeur Roy Wilson. Il a émigré de l’Angleterre au Canada quand il était jeune homme et a consacré sa vie à l’industrie des journaux.
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Durant sa carrière avec le Post de 1963 à 1969, Alan Capon a fait des contributions inégalées à l’industrie des journaux. Même s’il n’était pas explicitement cité comme auteur des articles du journal, son rôle au sein des opérations était très important.
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Cette chronologie souligne les événements et accomplissements significatifs de la vie d’Alan Capon (1932-2014). Défilez pour en lire plus sur ses découvertes de l’industrie des journaux et ses maintes contributions.
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Dans une petite ville, les organisations tiennent lieu de piliers de connexion et de progrès et permettent de souder les résidents. Pour un journaliste comme Alan Capon, durant son temps au Post, ces organismes étaient le sujet de sa caméra et lui donnaient un sens d’appartenance.
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Avant le fondement du Chapitre 67 de la Légion royale canadienne, le village jouait hôte à la Great War Veterans’ Association (G.W.V.A) (l’Association des anciens combattants de la grande guerre). Dans le plus grand contexte de la participation du Canada à la Première Guerre mondiale et ses séquelles, la GWVA était un organisme important qui soutenait les anciens combattants en subvenant à leurs besoins.
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Pour les petites communautés, les célébrations et événements jouent un rôle marquant qui vont au-delà du pur plaisir. Parmi ceux qui en reconnaissaient l’importance était Alan Capon, dont la caméra a été témoin des occasions les plus mémorables à Lindsay.
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En 1970, Alan a été embauché par le journal Peterborough Examiner comme journaliste de bureau puis par le Kingston Whig-Standard en 1971 où il a travaillé pendant 20 ans, sauf les trois années durant lesquelles il était rédacteur-en-chef du Picton Gazette, quand Joe Cembal en était le propriétaire.